Le 2 octobre 2012 le Zhumoriste a publié un article sur les Ets Guerry & Bourguignon dont voici le magasin Guerry du 116, boulevard de Grenelle à Paris (XVè). On ose espérer que la partie "Bourguignon" de cette association était mieux lotie que celle-ci, peu en rapport avec l'abondante publicité imprimée sur les productions de la marque. Il se peut également que cette carte postale représente le magasin Guerry avant (ou après ?) le rapprochement avec Bourguignon. Pourtant, le tricar dont on aperçoit l'avant, à droite, paraît bien être celui qui figure sur les catalogues publiés dans l'article pré-cité...
On saute une ou deux décennies, voire plus, et on saute aussi dans l'inconnu. Seul repère, une Motobécane à l'arrière-plan qui semble être la première de la marque, donc début années 20. Je laisse à quelque connaisseur plus doué que moi le soin de dater la Douglas.
On arrive aux années 30 chez Marcel Perrin, au 50, avenue Edouard-Vaillant à Boulogne-Billancourt (ci-dessous). Le magasin s'agrandira après la guerre mais restera longtemps consacré à la moto. Pilotant une OK-Supreme 250 ACT, Perrin sera vainqueur de sa catégorie au Circuit de l'Autoroute à Saint-Cloud, l'une des premières épreuves disputées au lendemain de la Libération.
Chez Gilbert Guignabodet, deuxième d'une dynastie vouée au deux-roues (ici 2ème à gauche) devant son premier établissement situé à Chelles, en Seine-et-Marne. Les machines mises en évidence étaient alors des fleurons de chez Terrot.
J'ai perdu la source de cette photo qui, de mémoire, représenterait le concessionnaire (le siège ?) de Elie Huin à Clermont-Ferrand, lieu de naissance de cette marque. Faute de Studebaker à vendre, moto ou motocar (Rovin) feront l'affaire des amateurs. Bien oubliée aujourd'hui, Elie Huin tint sa place dans de nombreuses épreuves d'endurance et rallyes nationaux.
Un nom bien connu dans une rue parisienne à déterminer car Murit (La-Moto-c'est-Jean-Murit), s'agrandissant sans cesse occupa plusieurs adresses successives dans la capitale puis en banlieue.
Sous réserve, les Ets Savoye à Grenoble, très impliqués dans le commerce des Mondial italiennes que Benjamin Savoye mena souvent avec succès en compétition. Le "patron" est ici sur un 49,9 qui en fit rêver plus d'un ! (Photo Le Progrès, Lyon).
Avant d'être à la tête d'une très grosse concession Harley-Davidson, Robert Leconte s'intéressa aux Royal Enfield puis Velocette (Importateur même ?). Dans son magasin parisien de la rue de Vouillé (ci-dessous) il représentait alors sept marques.
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