En complément du dernier article sur la marque Étoile, cette page sur les Mirus dont j'avais évoqué le nom et les productions. Ce document est extrait du catalogue d'un accessoiriste... dont j'ai pris bien soin d'oublier le nom (Désolé). À vue de nez, on peut dater ça entre 1905 et 1909 car il n'y est pas encore question d'une quelconque suspension de fourche.
Il semble que ce modèle soit muni d'un système de "débrayage" constitué d'un "coin" qui s'insère entre les deux joues de la poulie-moteur formée de deux parties. Ce "coin" est commandé par la tige verticale dont l'extrémité supérieure se termine par une petite manette articulée sur le tube horizontal du cadre. En enfonçant le "coin", on écarte les deux joues de la poulie ce qui détend la courroie, donnant d'abord un effet de patinage, puis l'immobilisation de la machine si le "coin est poussé à fond.
Un moteur Mirus installé dans une Griffon (Collection particulière)
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Dans les années 50/60, le quotidien Le Figaro publiait une rubrique intitulée, si ma mémoire n'est pas trop rouillée : "Le Figaro publie ici ce que L'Humanité cache à ses lecteurs". Au beau milieu de la guerre froide et alors que le Parti communiste prenait pour argent comptant (en roubles ?) tout ce qui venait du pays du "Petit-père des-peuples", il y avait de quoi faire. Ce qui m'a rappelé cette histoire, c'est - toute proportions gardées - ce qui m'est arrivé avec Facebook où j'ai été proprement CENSURÉ (voir zhumeurs du 28/04/2018). Je vais donc imiter Le Figaro en publiant ici les images que FB ne permet pas de voir à ses visiteurs.
(Publicité Dunlop des années 30).
(Pochette d'un disque danois - Qui connait la chanteuse ?)