Le bonheur en 1905

Deux photos de motocyclistes parisiens avec leur machine immatriculée "E2" (E, G, I, U, et X étaient les lettres réservées à la capitale). Ces photos valent surtout par les costumes aussi élégants l'un que l'autre pour la saison "hiver", photo en haut, ou pour l'été, ci-contre. La machine reste inconnue comme son moteur à soupape automatique assez gros pour faire entretoise dans un cadre ouvert. Le démarrage devait être du genre sportif car on ne remarque aucun dispositif de détente de la courroie autorisant la mise en route sur béquille et sauter en voltige n'était possible que pour le pilote. Alors, à moins de disposer d'une route en pente...

N'OUBLIEZ PAS DE VOUS INSCRIRE À LA NEWSLETTER POUR ÊTRE PRÉVENU PAR EMAIL DÈS QUE PARAÎT UN NOUVEL ARTICLE. C'est tout simple : on écrit son email dans la case en bas à droite sur la page d'accueil (Totalement gratuit, et je promets de ne pas vous inonder de "spams" !) 

Comments

[pete @ occhiolungo]

I think that he could start the motorcycle using the bicycle pedals with her on the pillion seat, so no need to run and jump on. Not easy, but easier than the second option.

[durand michel]

interessant le deuxieme guidon pour le passager du tan sad

me fais penser au deuxieme volant des autos ecoles portuguaises

[zhumoriste]

J'ai passé mon permis-moto sur une Jawa à double commande (Auto École St-Jacques à Paris) sans avoir roulé dessus auparavant puisque j'avais déjà une 125 Honda sur laquelle je venais aux cours
pour le Code. Le jour de l'examen, j'ai découvert cette Jawa "en fin de vie". Je n'en menais pas large sur cette trapanelle, mais j'ai quand même passé brillamment (... enfin, je l'ai eu)
l'examen de conduite. À noter que sur la photo dont il est question, le guidon est fixe !

[ghislain]

On frémit à la pensée de la courroie frôlant les culottes de la jeune dame !!!

[zhumoriste]

... Vu le harnachement qu'étaient les sous-vêtements féminins de l'époque, elle ne devait pas risquer grand chose, sinon un "bleu" à... l'amour-propre