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L'héritage d'Élie Buchet (4ème partie)

Plus que discrète en 1904, l'entreprise Buchet l'est encore plus en 1905. Si ce n'étaient les résultats en compétition d'un Anzani ou d'un Thomas, de Bac ou de Collomb, plus personne ne connaîtrait l'existence des productions de Levallois. Encore faut-il faire la liaison avec Alcyon puisque c'est souvent sous cette marque que les coureurs cités sont engagés. C'est que le vide laissé par la disparition d'Élie Buchet n'est pas comblé malgré les efforts d'un Anzani plus que jamais en première ligne car Rigal (auquel on l'a parfois associé) est parti dans le monde de l'automobile.

D'autres changement s'annoncent lorsqu'en juillet 1905 les Ets Buchet passent sous une nouvelle direction comme nous l'apprennent les revues spécialisées : "M. J.- Ambroise Farcot vient d'être nommé directeur des usines Buchet, à Levallois-Perret. Attaché comme ingénieur pendant quelques années aux établissements Farcot, de Saint-Ouen, le nouveau directeur possède une grande activité, jointe à des connaissances trés étendues ; il se propose d'orienter la production des usines Buchet vers les applications industrielles du moteur à encombrement réduit et à consommation économique" (La Vie Automobile, 29 juillet 1905). Information précédée d'un écho de L'Automobile (22 juillet) précisant que M. Joseph-Ambroise Farcot "vient de s'adjoindre comme ingénieur M. C.- A. Favron", sans plus de précision sur ce nouveau venu de la part de la revue pré-citée, sinon que "M. Farcot va construire des moteurs extra-légers pour l'aviation". Les Ets Farcot ont été créés en 1846 près du port de Saint-Ouen (Seine-Saint Denis) par l'ingénieur-mécanicien Joseph Farcot (1824-1908), un spécialiste de la vapeur. D'un esprit particulièrement prolifique, celui-ci ne déposera pas moins de 195 brevets entre 1833 et 1898 dans des domaines allant de la machine à vapeur aux pompes, alternateurs, grues, moteurs thermiques et même... bretelles ! On voit que Joseph-Ambroise avait de qui tenir. 

Cependant, l'une des rares activités de Buchet relevées par les gazettes en cette année 1905 concerne un "propulseur automobile" constitué d'une roue à aubes motorisée par le 3 CV 1/2 à eau, une machine destinée "au transport fluvial sur les cours d'eau rapide et de peu de fond". Par la suite, Farcot va se consacrer à la navigation plus aérienne que fluviale lorsqu'il s'installera "à son compte" en déposant brevet sur brevet à son nom (lui aussi), puis curieusement, sous celui de Farcot-Albaret, ce dernier patronyme étant celui de sa femme. Ou de son beau-père, ce qui ne laisse pas d'intriguer les historiens spécialistes de l'aviation des premiers âges... 1905 Anzani Hydra560Point de ces mystères pour Anzani (ci-dessus) qui débute la saison en s'attaquant au record de la Coupe Hydra, du nom du fabricant de bougies, accumulateurs et piles. Le détenteur de cette Coupe disputée avec des 1/3 de litre sur 100 km en vélodrome reçoit 5 F par jour (salaire journalier d'un employé du métropolitain). Le 6 avril, Anzani prend le meilleur sur la concurrence à la moyenne de 80,507 km/h. Le 17 mai la Coupe passe aux mains de son co-équipier Collomb. Celui-ci a mené son Alcyon-Buchet à 81,882 km/h puis, lors d'une autre tentative, il a élevé la moyenne à 82,379 Km/h. Ayant échoué précédemment dans ses efforts Cissac, pilote de Peugeot, finira par s'attribuer la Coupe le 9 septembre avec une moyenne de 84,997 km/h.      1905 Buchet Albatros 2437La précision "Supplément pour soupapes commandées - 20 francs" indique que les modèles "automatiques" étaient toujours disponibles en 1905. Chez tous les motocyclistes européens, les soupapes latérales ou culbutées mettront encore longtemps avant de s'imposer sur le marché.  1905-Buchet-Albatros-3438-copie.jpgSur ces extraits d'un catalogue de généraliste (L'Albatros) qui proposait les moteurs Buchet, on remarque que le nom d'Élie Buchet figure toujours sur le carter du modèle à eau (admission automatique) puisqu'il a été conçu du vivant de Buchet.

1905 Anzani bicyl Ch-Thierry

Malgré la déroute qui a sanctionné la participation en 1904 des Alcyon-Buchet aux éliminatoires du G.P. International du Motocycle Club de France (3 machines engagées, 3 abandons), Anzani persiste et présente trois Alcyon à l'épreuve de 1905 qui réunit une quinzaine de concurrents. Tavenaux et Griet sont ses co-équipiers et tous auront leur lot de chutes et crevaisons par la faute de malveillants qui, comme l'année précédente, ont jeté sur la route des clous que les cantonniers, pourtant motivés par une prime de 5 francs, n'ont pu voir à temps (10 francs au cas où ils prendraient un délinquant sur le fait...). Anzani sera le seul des "Alcyonistes" à connaître la satisfaction de terminer, mais en 4ème position ce qui lui enlève la possibilité de représenter la France dans le G.P. qui limite à trois par pays le nombre de concurrents. Anzani n'a pourtant pas démérité, ayant bouclé les 270 km du circuit de 5 tours en 3 h 31' 13'' contre 3 h 25' 3'' à Demester, vainqueur sur Griffon bicylindre devant les deux Peugeot de Giuppone et Champoiseau. Sans que ce soit précisé avec certitude mais au vu des moyennes enregistrées, il est probable que les Alcyon de cette course étaient elles aussi des bicylindres en V. Ce serait la première sortie de ces 8 HP (1000/1200 cm3), avec l'échappement à culbuteur, particularité du Buchet, des machines ressemblant à celle qui a été photographiée ci-dessus.

UN CHAMPIONNAT "DU MONDE" DE 5 KM !

Ces moyennes "auxquelles on ne pouvait s'attendre" selon L'Industrie vélocipédique et Automobile, (Demester à atteint les 82 km/h - sur route, rappelons-le !) vont être confirmées sur le vélodrome de Zurenborg à Anvers au cours d'une épreuve pompeusement baptisée "Championnat du Monde pour Cycles et Motocyclettes". Après des éliminatoires courues les 16, 21 et 23 juillet, la finale moto est reportée au 24 pour cause de pluie. Les meilleurs sprinters se retrouvent alors dans une course de 5 km. Accidenté juste avant le départ, Bac est transporté à l'hôpital, ayant laissé un orteil dans la transmission par engrenage et chaîne de sa Magali... Au signal du starter, Olieslagers "merveilleux d'allure part à fond de train et prend 40 mètres", écrit L'Industrie Vélocipédique... "Il a pris un tour au quatrième kilomètre, lorsque son pneu éclate à l'entrée d'un virage. Olieslagers roule avec sa machine sur la pelouse, rebondit et se relève absolument indemne. Dès lors, Anzani a la course gagnée ; Pernette finit à 100 mètres". Avec un temps de 3' 1'' 2/5, Anzani a frôlé les 100 kilomètres à l'heure.

Belle performance sans aucun doute, mais dans des circonstances qui relativisent sérieusement le titre de "Champion du Monde 1905" qu'on accole ici et là au nom d'Anzani. Ses véritables titres de gloire sont ailleurs...

1905 cri Armes & Sports pesageLe Criterium avec la photo de Thomas au pesage (le bien nommé) fait la couverture de l'hebdomadaire Armes et Sports qui, heureusement, traitait les armes sous leur angle sportivo-mondain : escrime, tir au pistolet, tir à l'arc, etc. 

Dépossédé de la Coupe Hydra le 9 septembre par Cissac (Peugeot), le Buchet culbuté va signer une éclatante revanche dans les 100 km du Criterium du 1/3 de Litre (19 au 21 septembre). En finale, les deux premiers sont sur des Alcyon-Buchet, suivis d'Armbruster, individuel sur Buchet et de Naso sur Magali-Buchet. Une autre Alcyon-Buchet est 6ème (pilote, Griet) derrière la Quentin de Contant. Le 7ème est Capeaumont (Lurquin-Coudert). À la 8ème et dernière place on trouve Villemain sur une Chanon à moteur Villemain. Sauf erreur, c'est la première fois qu'apparaît une moto Chanon, par ailleurs spécialiste du tricar. Villemain est à nouveau présent à la Journée de vitesse de Dourdan sur moto Chanon (7ème ex-œquo en Touristes et 8ème en Vitesse).1905 cri thomas115Chef de file chez Alcyon, Anzani n'a cependant pas eu les honneurs de la première place qui revient à René Thomas. Celui-ci entamait là une glorieuse carrière qui le mènera à l'automobile puis l'aviation avec autant de succès. Il est ici à droite, terminant la mise au point de sa machine tandis qu'à gauche un concurrent se fait une ceinture en tuyau de plomb pour atteindre la limite de poids réglementaire.

1905 cri pesage117À l'extrême-gauche, Dominique Lamberjack (pilote-vedette de Griffon), est venu assister au triomphe de Thomas. Griffon pas plus que Peugeot n'ont participé aux Criteriums.

1905 cri Thomas120Thomas photographié dans le cadre du vélodrome du Parc des Princes. On remarque que sa machine n'a pas le hauban de renfort de fourche visible sur la photo du pesage.

1905 Thomas René 503Cette "carte de visite" autographiée par René Thomas fut pieusement recueillie par Jackie Pichon fondateur du fameux musée de Clères. Court résumé d'une très longue carrière.

1905 cri Anzani119Toujours à l'occasion du Criterium, Alessandro Anzani montait une Alcyon très semblable à celle de Thomas. Les spectateurs ne s'y sont pas trompés et à l'issue de la course ils ont autant ovationné le metteur au point italien des Buchet que René Thomas.

1905 cri Naso121Dans les séries éliminatoires du Criterium, plusieurs machines avaient une transmission finale par démultiplicateur et chaîne dont celle de Naso, 3ème sur sa Magali à moteur Buchet. Malgré un nom qui fleure bon la Provence, cette Magali, tout comme sa marque-sœur Mireille, était construite à Levallois par Gayon & Cie, 22 rue Garnier.

1905 Buchet Albatros 1-3 de litre CérèsL'Albatros à moteur Buchet (pilote : Cérès) participa aussi au Criterium du 1/3 de Litre. C'était une construction de H. Billouin, un important motociste généraliste qui proposera longtemps à son catalogue des machines à moteurs Buchet, voire des moteurs seuls, après l'abandon de la production de ces moteurs.

LE CRITERIUM EXPLIQUÉ AUX NULS

(D'après "La Vie au Grand Air")

1905-Cri-texte-1519-copie.jpg

1905-Cri-MONTAGE-VGA-22-aout-copie.jpg 

1905-Cri-texte-4522.jpg

VERS UN DÉCLIN PRÉVISIBLE

La fin de la saison 1905 va être nettement moins brillante pour les Alcyon-Buchet. Excepté Thomas, on n'y retrouve plus les pilotes habituels qui avaient fait confiance au constructeur de Levallois. Ensuite on sait qu'Anzani n'a jamais été à l'aise hors d'un vélodrome et sur une certaine distance. Et si le 1er octobre, avec une bicylindre en V, Anzani gagne à la côte de Château-Thierry en catégorie Vitesse moins de 50 kg sur le kilomètre départ arrêté c'est sans opposant ! Les autres concurrents ont refusé de prendre le départ, celui n'étant pas donné lancé. La côte étant coupée par deux courbes devenues dangereuses à grande vitesse, les organisateurs avaient estimé que les voitures rapides comme les grosses motos "qui vont de plus en plus vite" ne disputeraient que le mile arrêté. En catégorie Touristes 1/3 de Litre sur le mile départ arrêté, Anzani en 1' 49'' 1/5 est battu "à la loyale" par la Peugeot de Giuppone, l'autre Italien (1' 40'' 3/5). 

LE MOTEUR AUX DEUX PAPAS 

Cependant, une fois de plus, le constructeur de Levallois crée la sensation, bien qu'en son temps il n'ait guère remué les foules avec ce moteur dont la paternité demeure encore aujourd'hui incertaine. Son carter est marqué Buchet, mais son architecture - trois cylindres en éventail et soupapes automatiques à l'admission - préfigurent les moteurs de ce type qui vont éclore plus tard chez Anzani, dont celui qui vaudra la gloire à un certain Blériot. Par ailleurs, Joseph-Ambroise Farcot va lui aussi se faire un nom dans l'aviation, mais sans reprendre, semble t-il, une telle formule (ici, les lumières d'un  "fana" de l'aviation seraient bien utiles). Dans son numéro 109 du 28 octobre 1905, la revue L'Automobile a publié une1905 Anzani 3 croquis569 description qui représente tout le savoir actuel concernant ce moteur. Extraits : "Trois cylindres, un vertical et deux calés à 50 degrés par rapport au plan vertical. Les trois bielles sont calées sur une même manivelle (ndlr : dessin ci-contre. L'allumage se fait dans l'ordre 1 - 3 - 2). Le rendement de ce moteur est tout à fait satisfaisant : les essais ont été faits sur une motocyclette de course montée par Anzani, qui a donné d'excellents résultats. Le moteur actuellement construit est un moteur de 80 mm d'alésage et de 80 mm de course (ndlr : 1200 cm3). Il donne 12 chevaux à 2000 tours et de 15 à 16 chevaux à 3000 tours. Les coefficients de rendement et de régularité sont très élevés, vu les dimensions et le poids du moteur qui est de 23 kg, ce qui représente à peu près 1 kilo 500 par cheval. Ce moteur, tout en fonctionnant dans les meilleures conditions, a encore l'avantage d'être très léger, ce qui est intéressant pour les moteurs de ballons et d'aéroplanes. (...). Ainsi qu'on peut s'en rendre compte par notre figure (voir ci-dessous) qui est la reproduction photographique d'une motocyclette Alcyon sur laquelle est monté un moteur trois cylindres, la disposition en éventail des cylindres de ce moteur s'harmonise de la façon la plus heureuse avec la forme du cadre. Le tout semble former bloc et donne une impression de grande solidité".

1905-Anzani-3-l-automobi567.jpgUn moteur aussi révolutionnaire sur une moto demandait un certain temps de mise au point d'autant plus dans le cas d'une conception bicéphale Farcot-Anzani. Ses débuts seront rien moins que laborieux lors de ce qui paraît être sa première sortie le 8 octobre à la journée de vitesse à Dourdan (route de St-Arnoult). Il est vrai qu'il affrontait les redoutables mastodontes de Peugeot menés par les spécialistes Cissac, Giuppone et Champoiseau bien rôdés au pilotage de leurs bicylindres en V automatiques.          

1905 Anzani 3 moteur sol568 copieC'est René Thomas qui défend Alcyon-Buchet sur le mile arrêté en catégorie "1/3 de Litre Touristes" mais il ne peut mieux faire que troisième derrière deux Peugeot (Giuppone et Cissac). Sur la même distance, on retrouve Anzani en "Vitesse moins de 50 kilos" avec la nouvelle trois cylindres. En 1' 10'' 2/5 il n'a rien pu contre le trio des Peugeot qui prennent les trois premières places, Cissac étant largement en tête avec un temps de 53 '' 1/5. 

1905 Anzani 3 cyl Dourda566L'épreuve du kilomètre lancé n'arrange pas les affaires de l'Italien qui se classe encore quatrième (moins de 50 kg) à 105,263 km de moyenne ce qui sera la meilleure performance de vitesse pure enregistrée par la 3 cylindres. Hélas bien loin de celle du premier, Cissac encore lui, qui signe un éblouissant temps de 27'' 3/5 soit plus de 130 km/h ! Dans cette journée, c'est finalement en catégorie "plus de 50 kg" avec sa "vieille" bicylindre en V à culbuteurs qu'Anzani aura eu le plus de satisfaction avec deux places de second. Même si chaque fois il a trouvé Giuppone et la Peugeot devant lui, aussi bien sur le mile que sur le kilomètre...

1905-Cissac-Peugeot-bi-en-V-Gaillon542.jpgCissac et sa Peugeot à soupapes automatiques : l'épouvantail de la catégorie "Vitesse moins de 50 kilos" (oui, moins de cinquante kilogrammes !)

LES DERNIERS FEUX 

La dernière rencontre de la saison est l'épreuve en côte de Gaillon dont le kilomètre en ligne droite, avec 500 mètres de lancée, promettait à tous "une hécatombe de records en raison des vitesses obtenues par les nouveaux engins" (dixit La Vie Automobile). Hélas, le 8 octobre la pluie et un vent violent allaient doucher ces espérances. Même un Cissac, vainqueur de la catégorie Vitesse en 31'' ne pouvait battre le record établi par Lanfranchi l'année précédente en 29'' 1/5 soit 123,287 km/h. Il égalait néanmoins le record de la journée des Grosses Voitures (Vitesse - 650 à 1000 kilos) signé par le baron Pierre de Caters au volant de sa Marcédès de... 120 chevaux ! Le record de Cissac restait néanmoins dans la musette des Peugeot, verrouillé par Giuppone, lui aussi sur Peugeot, qui se classait deuxième. Et devant qui ? Devant notre Anzani préféré et sa trois cylindres à... 19 secondes du premier avec un temps de 50'' 4/5 ! Chez les Touristes, beaucoup de records précédents sont battus. Anzani en récolte un nouveau sur sa 1/3 de Litre. Il grimpe la rampe à 66,808 km/h soit en seulement 3 secondes de plus qu'avec sa 3 cylindres de 1200 cm3. Belle démonstration des culbuteurs Buchet qui affirmaient ainsi leur supériorité technique en moyenne cylindrée. La leçon ne sera pourtant  comprise qu'assez tard    

1905 Anzani mono chaîne GaillonjpgC'est sans doute l'une des dernières occasion de voir Anzani sur une machine de vitesse. Elle montre aussi que la recherche n'avait pas cessé à Levallois puisque après la 3 cylindres, la transmission directe par chaîne s'appliquait également au mono 1/3 de Litre.

1905 Anzani 3 cyl Gaillo545À la fin de la journée de Dourdan, la 3 cylindres est hissée dans l'omnibus à vapeur Gardner-Serpollet par les amis d'Anzani (en bas, de dos). Elle va rester à Levallois puis demeurera invisible durant presque un siècle avant d'effectuer une mystérieuse réapparition du côté des Pays-Bas. Mais il se pourrait que dans un jour proche elle retrouve vie dans un cadre prestigieux...

      (À suivre, mais voui... mais voui...!)

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E
bonjour, pouvez vous me donner un renseignement, comment étaient disposé les pignons de distribution sur un trois cylindre ? le petit pignon du vilebrequin engrenait sur quel arbre à came en premier, celui du haut ou ceux latéraux ??<br /> merci pour votre réponse<br /> <br /> Eric
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E
Bonjour,<br /> <br /> Il est amusant de voir que l'on peut acheter en 2013 des replicas neuves de ce moteur.<br /> Voir ici : http://www.prewarcar.com/index.php?option=com_caradvert&view=ad&section_id=1&id=84321&Itemid=432
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